A la base, j’ai créé ALIZEAS poussé par une énergie intuitive. J’ai un ami propriétaire d’un catamaran.
Il a fait une transatlantique et un tour du monde. Cette personne m’a inspiré. Très tôt, j’ai compris le lien qui m’attache à la mer. Dès l’âge de 5 ans, je me suis construis un univers très spécial. Je me souviens. Le petit gosse, posté au sommet du Mont Saint Clair, admirait le coucher de soleil embrasant la méditerranée. Au loin, les voiliers et bateaux se devinaient à peine. Mais j’étais charmé par ce spectacle.
La main sur le cœur, t-shirt rouge, j’imaginais une vie d’aventurier. Sète m’a laissé une empreinte impérissable. Plus tard, ce sera les livres… Voyage au centre de la Terre, de Jules Verne… Tamata et l’alliance de Bernard Moitessier… J’ai aspiré les pages de ces romans suintant la liberté.
Aujourd’hui, je déchante un peu. Cependant, une chose sûre. Je me battrai jusqu’au bout, pour vivre mes rêves d’enfant. ALIZEAS est un fragment de ce rêve. Je me nourris du concept. Je suis un homme en quête de son chemin. et j’aimerai repousser mes limites au maximum.
J’ai rencontré des figures extraordinaires. Ces individus d’exception ont façonné mon parcours atypique. Autodidacte, j’ai vécu en Amérique du Sud, j’avais 24 ans. J’ai sillonné la planète avec 25 pays au compteur. Toute cette expérience est gravée dans le marbre du temps, une ellipse bouclant sur elle-même.
Depuis, le reboot prend forme. Il ne s’agit pas du Great Reset comme l’aurait souhaité Klaus Schwab… Non, c’est plus fort que cela ! Ce tourbillon m’aspire comme les pages de ces livres. Jules Verne et Bernard Moitessier vivent en moi. C’est le retour de l’aventure, de l’air pur, le large, les grands espaces, les pionniers, les derniers hommes libres… Nuit et jour, ces frissons m’envahissent. Certains boxent, d’autres font de la musique, je démens à cette constante. Ma mesure est toute autre. Je vibre au gré des alizés. Les raccourcis, les queues de poisson, c’est mon cœur de métier !
Quelle introduction, mon cher ! Revenons-en aux fondamentaux. Que dire ? Quand vous sortez des normes, il n’y a plus de retour en arrière possible. Voile au vent, on tire un bord magistral. Nous nous transformons au contact de cette réalité changeante. Les occurrences se multiplient. Une décade, des frottements, de la joie, du rire et des larmes. Rebelote, le carrousel, les mirages, ça recommence. Une danse ivre entre la vie et la mort, avec au final ce quotidien.
J’analyse le monde sous un prisme différent de la masse. 80% des humains se cantonnent à de minis cercles. Quand vous embrassez un large spectre de configurations, le jeu n’est plus le même. Les règles sont modifiées. ALIZEAS est le fruit de la somme des années passées sur le terrain. J’ai expérimenté les frictions, les désillusions, les revers amers. J’en ressors grandi mais pas indemne. Il y a des choses dont j’aurai préféré ignorer l’existence. Le brut vous met face au réel, aussi impitoyable soit-il.
A côté de ce portrait au parfum funeste, je sens les effluves d’une opiacée plus raffinée. Cette fraîcheur est celle du renouveau, de la renaissance. Tel un phénix, j’aimerai vous apporter une brise positive. Nous avançons tous vers ce but similaire, celui de la liberté.
Je souhaite émanciper les hommes. A vrai dire, j’ai toujours trouvé le monde moderne insipide. Les humains deviennent détraqués, ils pètent des durites. La folie, les vulgarités, ont pris le pas sur l’innocence. Je suis médiocre dans beaucoup de domaines. Par contre, là où je pense être dans un jardin, c’est l’inspiration et l’intuition. Je suis porté par mon propre phénomène de vie ; et celui des autres, me galvanise. J’ai absorbé tant de chapitres, tant de trajectoires, que j’implose. J’arrive à diffuser cette énergie. J’adore transmuter ce qui m’alimente. Vous êtes transporté. Vous insufflez une euphorie inébranlable.
Je matérialise ce courant avec Gabriel, lorsque nous travaillons sur le développement des sites Internet, par exemple. Il y a une totale synergie.
Inversement, la bluffante énergie mitraille depuis le Panama, également. De belles choses se construisent en ce moment. La maison affichée en couverture est un chef d’œuvre. C’est certain, des personnes me transmettent un flux irradiant. Là, ce ne sont plus des frissons, c’est une fusion à 1 000%.
De la jungle panaméenne au côté sophistiqué du géant Dubaï, j’évolue dans un mix détonnant. Une vie décalée de la norme sociale, loin des sentiers battus…
Ce blog est ma place d’expression. A travers ces bribes, vous connaissez mieux, ce mystérieux garçon planqué derrière le projet ALIZEAS. Ceci-dit, promis, je réserve encore des surprises. On reste discret, au cas où ; je détesterais subir les foudres d’un robot algorithme, ou d’un agent du WEF, mal poilé.
J’aimerai conclure sur une réflexion spontanée. Je vis avec la peur du lendemain. Les minutes s’accélèrent, ça me fait stresser à mort. Il va falloir redoubler les efforts pour cracher du pognon. Au bord du KO, l’atlantique, le finish, la ligne d’arrivée, un rivage, je navigue désormais, j’ai repris la barre. Captain Freedom est là. Nous toucherons bientôt terre, et nous verrons cette satanée jetée. Il était temps !