J’écris cette missive à chaud. Je déteste la politique. Un comble, car je voudrai introduire mes propos avec la sentence de Macron. Apparemment, ce serait la fin de l’abondance. Je me demande si j’ai loupé un épisode. Je me suis perdu en chemin. Dans ce vacarme, je pourrai prendre le message dans l’autre sens. Est-ce le début d’une nouvelle opportunité ? A chaque crise, ses solutions. Les temps sont délicats, mais ils offrent des perspectives inédites.
Je suis préoccupé quant à l’avenir de l’Europe. L’argent est dilapidé par les gouvernements.Toujours les mêmes oligarchies qui effectuent la razzia sur les peuples. Les rats quittent le navire. Le radeau va sombrer sous les flots. La France croule sous les impôts et taxes en tous genres. Le COVID a laissé un souvenir amer, et une pluie de dettes. Le peuple ne pourra jamais remboursé ce holdup budgétaire. Chaos, future destruction de la monnaie, inflation record, actifs numériques, le contrôle se resserre. De jour en jour, un étau se referme.
Réellement, le business des cryptomonnaies ne m’attire pas. Je préfère apprendre aux gens à s’enfuir légalement, monter des entreprises valides, et qu’ils se libèrent d’un poids qui est devenu incommensurable. Le totalitarisme marque des points et place ses pions. Nous sommes des êtres insignifiants aux yeux de cette ploutocratie. J’ai passé 10 ans à travailler sur cette problématique. Déjà en 2013, j’avais cette vision ; je suis parti au Nicaragua dans l’espoir de construire un style de vie basé sur l’autosuffisance. Je me suis trompé en beauté. Sans attaches, ni connaissances, vous êtes sûr de manquer le coche. La jeunesse vous transforme en utopiste. Avec 30 000 € de capital, vous pensez refaire le monde, vous enrichir. La bonne blague !
J’étais la tête dans les choux. Malgré tout, j’incarnais déjà cette ambition d’émancipation. J’anticipais une famine généralisée en 2023. La réalité me rattrapera peut être.
Je ne vous le cache pas les amis, je suis angoissé par ce futur ignoble. J’essaie de rester focalisé sur le moment présent, parfois je déraille complet. Remettre le train sur les rails et dans la bonne direction, c’est tout un art !
La fin de l’abondance ? Il est drôle notre cher Monsieur Macron. J’aimerai crier, je reste là sans force, impuissant. Mon espoir a quitté son trône. Il subsiste que le pragmatisme. J’ai perdu mes illusions. J’ai gagné mon désarroi. A vrai dire, je suis blasé. La nature humaine me fascine autant qu’elle me dégoûte.
Faussement émancipé de ce bordel, je me demande parfois quelle est l’énergie sous-jacente ? Clairement pas l’amour. Nous sommes manipulés par des forces vicieuses et perverses. Les élites sont de simples exécutants à la solde d’une classe sélecte de tyrans. Le WEF a pris ses quartiers en toute impunité. Vu sous un autre prisme, le peuple se soumet comme des carpettes. Chacun d’entre nous est responsable.
Le début d’une nouvelle opportunité ? Je fais de l’humour à mon tour. Je peux hurler, me congeler, impassible au demeurant. Ma rage me pousse au devant. Il faut survivre coûte que coûte. Je ré-adopte les codes dubaïotes du marche ou crève. En réalité, c’est la martingale universelle. N’abandonnez jamais ! Battez-vous ! Je sais, c’est dur. Mais vous récolterez les fruits de votre acharnement. La clé est individuelle. Nous avons le bonheur et la chance de pouvoir s’unir et créer des réseaux tout en travaillant sur nous-mêmes. Libérez-vous des injonctions familiales nauséabondes, des partenariats toxiques, révoltez-vous de l’intérieur.
La liberté est la valeur la plus noble qui existe sur terre. Le communisme vert dystopique nous permet un réveil. Je suis dans cette voie là. Les projets fusent. Ce blog me fait beaucoup de bien. J’écris ce que je ressens. Les émotions sont déballées à cœur ouvert. Je redeviens pour le coup, encore plus sérieux. Je suis entrain de vivre un conflit. Un univers meurt, un autre émerge.
Nous sommes tous embarqués dans cette galère. Appelez-la, comme vous voulez, mais c’est un putain de bateau qui prend l’eau !