Je n’ai qu’une seule chose à dire, une phrase. Si vous avez un enfant, envoyez le à Dubaï. Il apprendra mieux la vie que sur des bancs d’écoles poussiéreux. Le savoir a complètement explosé, il est de plus en plus accessible avec l’essor d’Internet.
De ma propre expérience, entreprendre aux Émirats Arabes Unis a été salvateur. J’ai accéléré la courbe de progression par 10. Si j’avais su cela plus tôt, je l’aurai tout de suite fait. Mais les injonctions, la société, le microcosme français, m’ont littéralement cadenassé.
Le problème des peuples occidentaux ? Ils sont conditionnées dans leurs prismes respectifs. Les œillères des personnes sont tellement grandes qu’elles en oublient les fondamentaux de base. On assiste à une décorrélation d’elles-mêmes et du contact avec la réalité.
J’ai vu beaucoup de perdition à Dubaï. Chez les hommes, c’est la déchéance totale. Et dans le « Everything is Business », il n’y a pas de cœur. Les sentiments sont broyés à la moulinette. Pourtant, paradoxalement, les 5% survivants à ce carnage, sont ceux disposant d’une configuration au-dessus de la moyenne.
Quel est l’ingrédient qui fait que ces personnes n’échouent pas comme 95% des autres ?
Dans les cercles d’entrepreneurs, il se raconte, que la réussite s’obtient avec l’autodiscipline. C’est en partie vrai et faux. J’ai analysé les occurrences ; le plus frappant, ce sont les boucles erronées répétées par des milliers d’individus. Et les bougres continuent sans cesse par s’illusionner.
Je voyais ces hordes dévorées, mental surpuissant, dictateur, dominateur. Elles s’adonnaient à des rites pilotés par de bas instincts. Attention, je l’admets, j’ai aussi mon côté noir. J’aimerai juste exprimer l’idée suivante. Les âmes paumées se laissent supplanter. Le moteur est leur facette obscure. Les refoulements opérés les embrigadent. Une prison à la note salée, car Dubaï ne pardonne pas la médiocrité. Le moindre écart, se paie cash.
Parmi les rescapés, j’ai détecté la pattern émotionnelle. Les candidats ayant une intelligence émotionnelle développée arrivent à s’en sortir.
Ils sont constamment dans le Ying et le Yang. Ils ont la capacité de switcher ou de ressentir sans refoulement deux émotions à la fois. D’une certaine manière, ils partent à la rencontre de leur source, une connexion intérieure profonde, complète. Loin des spirituels, ces personnes vibrent, et sont en relation avec l’énergie blanche et noire, et ce que j’appelle le transcendantal, un power irradiant.
Elles intègrent les émotions au fond de leur intimité. Un peu comme l’alchimiste, elles les transforment, elles les recyclent. Le plus extraordinaire, elles sont capables d’optimiser leurs propres ressentis, et ceux des autres en fonction d’elles-mêmes et d’autrui. Ces pirouettes procurent une sorte d’invincibilité. Un pare feu se dresse, l’individu branché sur l’aspect émotionnel prend l’avantage. Il capte l’ensemble des schématisations. L’adversaire est au tapis.
Revenons à la sphère professionnelle. Des études récentes, mettent en avant le quotient émotionnel. Dans une équipe, il permet de booster la productivité, harmoniser la cohésion de groupe.
Selon, le Capgemini Research Institute, la part des chefs d’entreprises convaincus par l’importance de l’intelligence émotionnelle au sein d’un team, serait en nette augmentation, et cela dans une majorité des pays du monde.
Ce graphique ci-dessous illustre parfaitement la dynamique.
L’intelligence émotionnelle est appelée à devenir une compétence indispensable dans les 5 prochaines années
L’environnement incertain invite les employés à comprendre comment les changements les affectent et quelles types d’émotions se manifestent. Les salariés doivent prendre conscience de leurs émotions, et les gérer. C’est la clé, si ils veulent survivre dans un univers, au demeurant, plus instable et dangereux.
Cette adaptabilité peut se transposer aux enfants. L’école grave la jeunesse à l’encre indélébile dans le marbre mortifère des cloisonnements. A y regarder de plus près, cela s’apparente à du dressage. Le gamin étouffé grandit sclérosé. On a des résultats désastreux. Arrivés à l’âge adulte, ces enfants sont incapables d’évoluer. Le moule éducationnel ayant agit comme faux modèle, il paralyse toutes velléités d’émancipation.
Si nous souhaitons améliorer le sort de l’humanité, je crois qu’il y aurait un vrai travail à faire dans ce sens.
Rejeter en bloc
Le déni est une maladie grave. A coup d’Agenda 2030, de restrictions en tous genres, on fabrique une armée d’humanoïdes refoulés, robotisés, méta versés.
Le phénomène s’amplifie. Maintenant, les bébés naissent avec le digital intégré. Les émotions sont rejetées dès les premiers balbutiements. Le monde se divise en 2 catégories, les maîtres et leurs milliards d’esclaves.
A travers cette missive, derrière ce clavier feu-follet, je suis une poussière. Mon âme capricieuse transmet le message. Le mauvais garçon, le sale gosse, a pris le dessus.
La leçon Dubaïote
Je persiste et signe, ça m’a toujours amusé d’être un élève médiocre. Je me confesse. Cancre a ses avantages. Je me souviens, je posais la tête sur la table, ennuyé par les joutes verbales des professeurs. Je m’endormais souvent. Dans un comas, loin d’être éthylique, je me réveillais à mon agréable surprise avec une main posée sur l’épaule ! La belle époque ! J’en viens presque à regretter tout ce cinéma littéraire.
Sans tirades supplémentaires, l’école ça formate. J’ai mis des années à me dépêtrer de ces chaines. Dubaï m’a allumé la tronche dès le départ. A peine le tarmac foulé, je me suis mangé un missile balistique. La violence, la beauté, la cruauté, la jungle urbaine. On redescend sur terre direct !
Les Émirats Arabes Unis vous apprennent l’humilité. Le pays est obnubilé par l’excellence, la qualité des services au top niveau. La compétition fait rage dans tous les secteurs. Most WELCOME, cher Monsieur, tapis rouge sous conditions…
Le passeport paresse, vous pouvez l’oublier.
Une copine me titillait l’autre jour. Je l’avoue. Je l’ai chauffé un peu hormonalement. Pour paraître plus crédible à ses yeux, je lui ai dit que nos futurs enfants n’iraient pas à l’école.
Hors de question, que je les sectarise dans cette institution. Intriguée, elle réfute. Elle me demande ce que je comptais faire pour pallier à la situation. Sous mes airs de chevalier blanc en croisade contre l’obscurité, je ripostais fièrement. Glaive à la main, je balançais l’insulte suprême.
Mon gosse tout crado surgit soudain. Il envoya tout en enfer, et dit « Si je suis père un jour, j’enverrai nos futurs chérubins à Dubaï, c’est la meilleure école de la vie, avec le meilleur diplôme ».
Là-dessus, la copine me dévisagea: « Et si notre fils ou fille tombe dans la drogue ou les excès ? Que feras-tu ? J’ai peur, tu sais ! ».
Je descendis de ma monture, sourire angélique: « Oh, Rassure-toi, il n’y a aucun risque. Notre enfant sera le fruit de notre union. Que veux-tu qui lui arrive ? Nous avons survécu à ce paradis artificiel, lui le fera aussi. C’est quand même plus classe que des fêtes de fin d’année pour un baccalauréat version PDF ».